lundi 28 décembre 2009

Quand la SNCF se paie la tête de ses clients.

Ce lundi 28 février, après avoir passé les fêtes de Noël, à Paris, en famille, je repas pour Orléans. Direction la gare d'Austerlitz. Le train doit partir à 15 h 48 pour arriver aux Aubraies, à 16 h 47 et à Orléans gare, à 16 h 55.

Ce n'est qu'à 16 h 15 que le train partira de la gare d'Austerlitz, soit avec avec 27 minutes de retard sur l'horaire prévue. De fait, jusqu'à Juvisy, la progression du train est ralentie, mais avant d'arriver à Etampes, il augmente considérablement sa vitesse pour rattraper son retard. Il entre en gare des Aubraies à 17 h 20, soit avec 33 minutes de retard et à la la gare d'Orléans vers 17 h 30.

Nous sommes plusieurs voyageurs à nous rendre au guichet informations pour demander un formulaire de remboursement du trajet, dans la mesure où dès lors que le retard d'un train excède de 30 minutes un dédommagement doit être versé par la SNCF.

La réponse de l'agent de la SNCF tombe laconique. Il n'y aura pas de remboursement, car le retard est lié aux travaux sur la voie. On doit comprendre qu'il s'agit d'un fait extérieur à la SNCF, au sens où ils lui ont été imposés par la chute d'une pierre projetée sur le train desservant la ligne C du RER, par un automobiliste ivre, sous l'emprise de la drogue et sans assurance, à l'origine d'importants dégâts et de passagers commotionnés ou blessés, évènement dont la presse a abondamment parlé.

Cette analyse me paraît contestable, car les travaux sont bien organisés par la SNCF et étaient prévisibles, ce d'autant qu'ils durent depuis plusieurs jours, suite à cet accident ferroviaire.

De plus, contrairement à l'affirmation de la SNCF, l'essentiel du retard est du aux opérations pour préparer le train à la gare d'Austerlitz. Car, si on fait un calcul précis, le train que j'ai pris a effectué son parcours en 1 h et 5 minutes (16 h 15 à 17 h20) contre les 59 minutes annoncées (15 h 48 à 16 h 47), soit 6 minutes de moins que prévu.

A mons sens, c'est ici une perversion du monopole que possède la SNCF en ce qui concerne le trafic des voyageurs, lorsque celle-ci dessert les trajets à l'intérieur du territoire français. Déjà la concurrence voulue par l'Union européenne pointe son nez et les offres alternatives se font jour pour des destinations internationales empruntant le territoire français (exemple : le Paris-Milan).

Il ne suffit pas pour la SNCF de proclamer que le développement durable est un axe majeur de sa politique, le développement durable cela commence d'abord par le respect du à ses clients, en toutes circonstances. Manifestement, chaque année, les prix augmentent, mais la relation entre la SNCF et ses clients se dégrade régulièrement, comme le montre l'affaire de l'Eurostar. En l'occurence, la SNCF et Eurotunnel se renvoient la responsabilité pour avoir laissé 2000 voyageurs bloqués dans le tunnel sous la Manche durant plus de 15 heures sans leur porter assistance (ni eau, ni vivres, ni informations).

Le développement durable, c'est un comportement global qui met au centre de la relation le client. Les solutions techniques ou financières sont indispensables, mais, à elles seules, elles demeurent insuffisantes comme le montre ce lien où le développement durable est perçu de façon segmentée.

http://www.actu-environnement.com/ae/news/sncf_uitp_developpement_durable_6070.php4

Pour la SNCF la route est encore longue avant de comprendre tous les dimensions de la notion de développement durable ...

jeudi 24 décembre 2009

NOEL EN EUROPE ET POUR UN NOEL ECOLOGIQUE.


Comment est fêté Noël dans les 27 pays de l'Union européenne ?

Une première réponse est fournie par le dossier que consacre le site touteleurope.fr à ce thème.

http://www.touteleurope.fr/fr/actions/social/les-europeens-au-quotidien/presentation/noel-en-europe.html?xtor=EPR-10

Et si c'était votre premier éco-Noêl? Cette vidéo pour vous dire que Noël se conjugue très bien avec économies et écologie, en ce temps de crise. Un exemple, à Caen avec l'association le colibri.

http://www.dailymotion.com/video/xbg7c1_un-noel-ecolo-a-caen_news

Mon cadeau de Noël. Une jolie vidéo pour apprendre aux enfants et rappeller aux plus grands les gestes élémentaires de l'écocitoyenneté. A regarder en famille !









LE REVERS ECOLO
envoyé par ERWANLEGAL. - Court métrage, documentaire et bande annonce.









mercredi 23 décembre 2009

LE MAG 3 : LE SOMMET DE COPENHAGUE.

Vous n'étiez pas au Sommet de Cophenhague du 7 au 18 décembre 2009 pour suivre les négociations sur l'après-Kyoto ? Voici un reportage pour comprendre les arcanes de cette négociation ardue qui s'est traduite par un résultat décevant.


dimanche 20 décembre 2009

GOOGLE CONDAMNE. QUELLE REPONSE EUROPEENNE ?

1. GOOGLE CONDAMNE POUR AVOIR ILLEGALEMENT NUMERISE DES OUVRAGES FRANCAIS.



La Martinière-Le Seuil reprochait à Google d'avoir numérisé et rendu accessible en ligne 3 000 à 4 000 livres de son catalogue (présents dans les bibliothèques américaines) sans autorisation. Pour l'éditeur, cette numérisation constitue une violation du droit de reproduction, du droit d'auteur, une contrefaçon de marques et un parasitage. Il demandait 15 millions d'euros de dommages et intérêts.



Le tribunal de grande instance de Paris (TGI) a condamné, vendredi 18 décembre, l'entreprise californienne Google pour "contrefaçon" de livres publiés par le groupe français d'édition La Martinière. La société américaine devra verser 300 000 euros de dommages et intérêts à son contradicteur, qui possède notamment le Seuil, troisième éditeur français.



Selon l'AFP, dans son jugement, la 3ème chambre civile estime que "en reproduisant intégralement et en rendant accessibles des extraits d'ouvrages sans l'autorisation des ayants-droit, la société Google a commis des actes de contrefaçon de droits d'auteur au préjudice des éditions du Seuil, Delachaux & Niestlé et Harry N. Abrams, ainsi qu'au préjudice du Syndicat national de l'édition (SNE) et de la Société des gens de lettres (SGDL)."



Google se voit interdire la poursuite de ces pratiques sous peine de nouvelles sanctions financières. Ce jugement pourrait mettre un coup d'arrêt aux projets de Google, qui a conclu des accords avec plusieurs bibliothèques américaines et ambitionne de reproduire ce schéma dans le monde entier pour créer une bibliothèque numérique universelle.



LA RISPOSTE FRANCAISE ET EUROPEENNE PREND FORME.



La prise conscience tardive de la France.



La réflexion est engagée qu'il s'agisse du rapport de juin 2008 de la commission Patino sur le livre numérique (1) du rapport d'Hervé Gaymard de mars 2009 relatif au prix unique du livre (2), de l'installation de la commission sur la numérisation des fonds patrimoniaux et des bibliothèques présidée par Marc Tessier (3), et de la mission confiée à l'ancienne Ministre de la Culture, Mme Christine Albanel, le 20 novembre 2009 (4).



Elle traduit une prise de conscience tardive car le signal d'alerte avait été tiré, il y a quelques années par Jean-Noël Jeanneney, en tant que responsable de la Bibliothèque Nationale de France. A ce jour, grâce à son initiative, sur un fonds de 13 millions d'ouvrages, 950000 ont été numérisés par Gallica (5).



Dans le même temps, le 11 juillet 2008, le maire de Lyon, Gérard Collomb (PS), a donné son feu vert pour que le moteur de recherche américain engage la numérisation d'ouvrages patrimoniaux de la bibliothèque municipale, qui, avec ses 1,3 million de titres, est la deuxième de France, ce qui constitue le premier accord signé par Google en France.



C'est cette réponse en ordre dispersé qui montre que la France n'a pas su mettre en place une alternative au contrat proposé par le géant américain.



2. L'action de l'Union européenne.



Lors du Conseil Culture du 28 novembre 2009, les 27 ministres de la Culture de l'Union européenne, s'est tenu un débat d’orientation sur la numérisation des contenus culturels et sur la bibliothèque numérique européenne, Europeana (6). Les ministres ont en effet souhaité aborder le défi considérable qui consiste à améliorer la numérisation et l'accès en ligne à notre patrimoine culturel, notamment en ce qu’il comporte comme problèmes. Il faudra prendre en considération ces derniers afin d’offrir des chances égales à tous dans le domaine de la numérisation des œuvres culturelles, en particulier des livres. En conclusion, " Comme la Commission, les Etats membres ont estime qu'il importe de mener une action concertée pour que bien plus de materiels numérises soient rendus accessibles grace a Europeana, et que le prototype doit devenir pleinement opérationnel en 2010." (7).



(1) http://www.ibf-booksellers.org/newsite/press/Rapport%20sur%20le%20livre%20numerique%202008.pdf

(2) http://www.culture.gouv.fr/culture/actualites/rapports/rapport_gaymard.pdf

(3) http://www.culture.gouv.fr/mcc/Espace-Presse/Discours/Installation-de-la-commission-sur-la-numerisation-des-fonds-patrimoniaux-des-bibliotheques

(4) http://www.lefigaro.fr/assets/pdf/11.20%20Lettre-PM-ALBANEL.pdf

(5) http://gallica.bnf.fr/

(6) http://www.europeana.eu/portal/

(7) http://www.consilium.europa.eu/uedocs/cms_data/docs/pressdata/fr/educ/111610.pdf voir pages 11 et 12.

vendredi 18 décembre 2009

GLOBAL MAG . LE MAGAZINE ECOLOGIQUE D'ARTE DIGNE DE FIGURER PARMI VOS FAVORIS

http://plus7.arte.tv/fr/1697660,CmC=2987228.html

Ce lien vous conduit au magazine écologique d'Arte "Global Mag".

Le dernier numéro vous fera connaître les risques pris par les habitants de Pompei menacés par l'éruption du Vésuve.

Mais aussi, le lithium dont la Bolivie, pays le plus pauvre Amérique du Sud, compte bien tirer partie en résistant aux appétits des entreprises étrangères dont Bolloré qui y voit le moyen d'approvisionner en matière première la batterie de sa futur voiture électrique la blue car.

Et le cacao, matière première de la fabrication du chocolat, s'épuisera t-elle, à l'image des vergers et des exploitants vieillissants de la Côte d'Ivoire ?

Et votre sapin de noël, naturel ou synthétique ? Si l'écologie vous dit quelque chose vous ne sauriez hésiter une seule seconde...

mercredi 16 décembre 2009

QUAND L'INFLUENCE DE LA FRANCE DANS LES INSTITUTIONS EUROPENNE CONTINUE DE PRENDRE LE CHEMIN DU DECLIN;

Nicolas Sarkozy, était fier comme Artaban que la France ait obtenu, de haute lutte, le 27 novembre 2009, que le Président de la Commission européene nomme Michel Barnier au poste de Commissaire européen chargé du marché intérieur et des services financiers.

La lecture de l'excellent blog de Jean Quatremer, sous le titre "Les Français, dindons de la farce de la Commission Barroso II ?" montre que c'est bien l'arbre Barnier qui cache la forêt des Français moins bien représentés que leurs homologues européens dans l'organigramme de la Commission Barosso II. Le texte intégral est le suivant :

"Alors que la présence française au sein de la Commission sortante ressemblait déjà à une peau de chagrin, elle risque d’être quasiment proche du néant dans le futur exécutif européen. Selon les premiers chiffres que j’ai en ma possession, les recrutements effectués sont pour le moins inquiétants.
Ainsi, pour l’instant, on ne compte qu’un porte-parole français, contre cinq Britanniques, deux Irlandais ou encore trois Allemands. Du côté des chefs de cabinet, c’est pour l’instant la Berezina : deux Français, cinq Britanniques, deux Irlandais, quatre Allemands, deux Autrichiens, deux Belges… Bien sûr, il ne s’agit pas encore de nominations définitives et il y a vingt-sept cabinets de commissaires à constituer. Mais la tendance est bel et bien là.

La France, si fière d’avoir obtenu le marché intérieur pour Michel Barnier, risque, manifestement, d’en payer le prix fort. Nicolas Sarkozy a voulu José Manuel Durao Barroso comme président de la Commission, en espérant qu’il serait un peu moins « anglo-saxon » qu’entre 2004-2009. Manifestement, ce n’est pas le cas. D’ailleurs, c’est le président du Conseil européen, le Belge Herman Van Rompuy, qui a dû fixer un agenda volontariste à la prochaine législature, face au silence persistant de Barroso, comme je l’ai raconté ici : il a déjà convoqué un sommet extraordinaire en février qui sera consacré aux stratégies de sortie de crise."

Comment l'influence française dans les institutions françaises ne déclinerait-elle pas au profit de fins lobbystes que sont nos homologues allemands, britanniques ou espagnols, quand Mme Rachida Data, élue parlementaire européenne, en juin 2009, avoue à une amie dans une conversation privée qu'elle s'ennuie au Parlement européen et qu'il va y av avoir un drame d'ici la fin de la session parlementaire ?

Voir : http://eco.rue89.com/2009/12/14/rachida-dati-au-parlement-europeen-je-nen-peux-plus-130028

Faut-il rappeler ici que pour nos homologues allemands, siéger au Parlement européen pour un mandat de 5 ans et élaborer avec le Conseil une législation applicable à près de 500 millions d'Européens est une fierté ?

Pour ces élections régionales qui se dérouleront les 14 et 21 mars 2010, l'UMP a désigné Mme Catherine Soullie, députée européenne, comme tête de liste dans le Loiret.

Dans une note du Parti Populaire Européen du Parlement européen, en date du 3 septembre 2009, sous le titre "Catherine SOULLIE fait ses premiers pas au Parlement européen
(UMP, PPE, France
)."on apprend que : "Maire-adjointe d'Olivet (Loiret), Catherine SOULLIE entame une rentrée parlementaire bien chargée. Au coeur du débat qui s'engage sur le paquet
pharmaceutique au niveau européen, Catherine SOULLIE a choisit de centrer son action sur les questions relatives à la cosmétologie et à la pharmaceutique. Ces sujets sont cruciaux pour la région orléanaise. Ce pôle important de l'industrie française de la cosmétologie accueillera en 2010 la seconde édition de "COSM’Innov", le congrès international de la recherche en cosmétologie.

En charge des questions de culture à la mairie d'Olivet, la députée européenne sera très attentive aux décisions et projets initiés par la Commission Culture et Education du Parlement européen; l'un des meilleurs domaines dit-elle, pour " rapprocher l'Union européenne du citoyen".
Proche des associations d'anciens combattants et du milieu militaire du Loiret,
Catherine SOULLIE aura également à coeur de suivre les dossiers discutés au sein
de la sous-commission Sécurité et Défense
."

Comme chacun doit le savoir être député(e) au Parlement européen est un travail à temps plein. On y siège, en session plenière, durant 4 jours, à Strasbourg, mais auparavant les décisions sont préparés en commissions et au sein des groupes politiques et une semaine est mise à disposition pour qu'il conserve un lien avec sa circonscription.

Même si au regard des textes en vigueur, le mandat de député européen est compatible avec un mandat de conseiller régional, politiquement, on se demande comment madame Catherine Souillie pourrait gérer sérieusement son agenda politique en se répartissant, selon l'ordre du jour, entre Strasbourg, Bruxelles et Orléans. Le risque est de ne pas accomplir correctement ni un mandat, ni l'autre.

C'est quand même une manière orginale de servir la cause européenne juste quelques mois après avoir été élue en juin 2009 pour briguer un mandat de conseillère régionale. Adopter des lois qui s'appliquent à près de 500 millions d'Européens n'intéresse donc pas suffisamment Mme Catherine Souillie pour qu'elle éprouve le besoin de briguer la tête de liste UMP du Loiret lors des prochaines élections régionales ? L'électeur peut légitimement se déclarer pour avoir donné sa voix et sa confiance à une élue qui n'aura pas le temps, si elle est élue conseillère régionale, en mars prochain, de se consacrer pleinement à son mandat de députée européenne.

Ce cumul potentiel des mandats ne risque pas d'arriver à la tête de liste d'Europe-Ecologie du Loiret, Pascale Rossler, qui vient de la société civile et pour la première briguera les suffrages des habitants du Loiret les 14 et 21 mars prochain pour devenir conseillère régionale.

Europe-Ecologie, c'est aussi, une manière de faire de la politique autrement ...



samedi 5 décembre 2009

Orléans. Quartier de la Madeleine. Un jardin partagé pour quoi faire ?

"Créé à l’initiative d’habitants qui désirent se retrouver dans un lieu convivial pour jardiner, un jardin partagé est un jardin de proximité.

Il est planté et entretenu par les riverain regroupés au sein d’une association. C’est un lieu ouvert sur le quartier qui favorise les rencontres entre les générations et les cultures. Il permet de tisser des relations entre les différents lieux de vie de l'arrondissement : écoles, maisons de retraite, hôpitaux…

Un tel jardin est confié à une association par convention pour une durée limitée (1 an renouvelable jusqu’à 6 ans). Dans ce jardin, respect de l'environnement et développement de la
biodiversité sont de mise." Source. Brochure. Visite des jardins partagés du Xème arrondissement de Paris du 16 septembre 2009.

Le jeudi 26 novembre 2009, je me suis rendu à la réunion organisée par la mairie de quartier de la Madeleine et par l'Aselqo Madeleine qui portait sur la création d'un jardin partagé.

Le projet qui a été présenté vise à l'installer sur le terrain de plus de 2000 m2, situé entre la venelle des Vignes et la rue Jean de la Taille.

Un diaporama a été présenté par Mme Laurence Baudelet, auteur d'un livre intitulé "JARDINS PARTAGES. Utopie, écologie, conseils pratiques"pour présenter d'autres réalisations.

Des informations et précisions ont été fournies par Mme Nadia Labadie, Adjointe au Maire, Déléguée pour les quartiers Ouest, Présidente du CMA Madeleine et par Mme Aude Quatrebarbes, adjointe au Maire pour la coordination de la Politique de Proximité et de la gestion du Domaine public et par Mr Rodrigue Biseux, responsable de l'Aselqo Madeleine.

Il faut retenir que ce jardin partagé comprendra uniquement des parcelles collectives (pas de parcelles individuelles) qu'il devrait voir le jour, en pratique, d'ici un an, à compter de fin 2010, au vu des nombreuses démarches administratives à accomplir et que les prochaines réunions sous forme d'ateliers (le prochain en janvier) définiront les principes et les modalités d'application sous forme d'un règlement intérieur.

J'approuve cette démarche dans un quartier populaire d'Orléans qui est déjà un quartier convivial contrairement au centre-ville et qui peut, parfaitement, mettre en oeuvre ce savoir vivre ensemble autour d'un projet commun.

Il reste qu'il conviendra de rester vigilant pour que ce jardin partagé réponde véritablement à des principes de gestion écologiques, que je défends, politiquement, avec mes amis, et que celui-ci soit une vraie réussite et non un alibi, en matière de développement durable, pour simplement mettre en oeuvre une promesse contenue dans l'Agenda 21 de la ville d'Orléans et pouvoir afficher en fin de mandat un taux élevé de réalisation. Tant il est vrai que la municipalité dirigée par Serge Grouard a habitué ses concitoyens à des annonces qui n'ont pas toujours été suivies d'effet, concrètement parlant.

Pour en savoir plus.

http://www.association4d.org/IMG/pdf/Les_jardins_partages-fiche_thematique-2.pdf

Voir aussi la vidéo du jardin Fessart, à Paris, dans le 19 ème arrondissement, rue du Plateau.





Jardin Fessart An 01
envoyé par jpplejardinier. -

Les plus attentifs reconnaîtront un élu Vert de Paris.